Le projet CIGALE s’inscrit dans la continuité des divers travaux engagés – aux niveaux national et européen – en matière de caractérisation et de compréhension de la gêne due aux émissions sonores des avions. Il s’agit de mieux comprendre qui sont les résidents qui vivent sous les couloirs aériens dans de zones de fort trafic (Paris CDG et Toulouse Blagnac) et comment ils vivent la proximité à l’aéroport. Ces résultats pourraient permettre d’améliorer les outils de gestion du bruit. Son originalité est d’apporter des éléments de compréhension inédits de la gêne aéroportuaire en s’appuyant sur un fort niveau d’interdisciplinarité qui articule sciences humaines et sociales et sciences de l’ingénieur. La durée du projet est de 42 mois.